photo trouvée ici ; texte extrait d’un bidule en cours
qu’est-ce que j’vous sers ? qu’elle dit la nouvelle bouchère une de mes jolies cuisses de pintade à la peau bien dorée ? un p’tit morceau de ma poitrine de bœuf ou les beaux faux-filets pendus à ma jarretière ? qu’est-ce que j’vous sers monsieur ? j’ai un rumsteck bien tendre juste sous ma petite culotte de ch’val un cœur d’agneau qu’est gros comme ça qui bat bien fort derrière mes côtes de porc et tous ces jolis bouts de viande que plus personne ne s’offre à 15 € le kilogramme vous allez bien vous en payer une tranche ? alors alors mon chair petit – monsieur ? qu’est-ce que j’vous sers ?
25 juin 2013 at 12:38
Je préfère ta bouchère aux bouchers. On attend la suite du marché…
29 juin 2013 at 7:43
Bah j’ai plus qu’à envoyer ça dans les stands de légumes…
25 juin 2013 at 8:07
ta bouchère moins sexy que mon boucher
roi suprême des merguez et des köfte
il me fait saliver à l’étalage
ces bêtises ne sont là plus de mon âge
29 juin 2013 at 7:40
… ??
Mais qu’est-ce qui t’arrive !
C’est vrai que ta page facebook est presque sérieuse ces derniers temps…
29 juin 2013 at 1:43
C’est rare que la poésie ne me donne pas envie de fourrer une claque au poète.
Je vais passer une p’tite heure à faire le tour, mais je repasserai!
R.
29 juin 2013 at 8:04
C’est vrai que la baffe systématique serait une méthode simple et efficace pour rendre la poésie moins vieillo-intellectualo-charlato-abstraite…
A bientôt alors !
29 juin 2013 at 12:56
ne feins pas d’ignorer que l’humour est l’apanage des désespérés
… humidement….
29 juin 2013 at 5:01
Pardon. Mon second degré s’éteint parfois sans prévenir quand la température baisse inopinément. Peu estivalement… 🙂