Ô le tonneau des Danaïdes Sans cesse tu te plains Qu’il soit toujours à moitié vide Il est à moitié plein Oui, les gosses naissent dans leur tombe Mais les gens vivent, un peu L’amour est ce trou que l’on comble Mais peut-on rêver mieux ? Je trouve belle la nature C’est déjà mieux que rien Et je me dis, dans ma voiture Que tout cela est bien
mars 7, 2012
8 mars 2012 at 9:16
Exceeeeellent. Du Langda tout craché. 😉 Je plussoie.
8 mars 2012 at 5:20
Merci 🙂 ! Je craignais pourtant qu’il détonne avec le reste…
8 mars 2012 at 1:07
rahh dommage, je trouve que ça part bien mais le dernier quatrain retombe dans une certaine banalité qui ne nous fait pas découvrir quelque chose de nouveau ! Dommage vraiment , les deux premiers quatrains sont pas mal, surtout le premier !!!
8 mars 2012 at 5:23
Hé hé ! Je suis d’accord avec toi, mais ce dernier quatrain conclut tout de même bien le « raisonnement ». J’avais trois ou quatre autres manières de conclure (beaucoup moins brièvement), et je préférais celle-là, dont la banalité n’est pas innocente.