Ô le tonneau des Danaïdes…

Ô le tonneau des Danaïdes Sans cesse tu te plains Qu’il soit toujours à moitié vide Il est à moitié plein Oui, les gosses naissent dans leur tombe Mais les gens vivent, un peu L’amour est ce trou que l’on comble Mais peut-on rêver mieux ? Je trouve belle la nature C’est déjà mieux que rien Et je me dis, dans ma voiture Que tout cela est bien

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4 responses to “Ô le tonneau des Danaïdes…

  • Désirée

    Exceeeeellent. Du Langda tout craché. 😉 Je plussoie.

  • racbouni

    rahh dommage, je trouve que ça part bien mais le dernier quatrain retombe dans une certaine banalité qui ne nous fait pas découvrir quelque chose de nouveau ! Dommage vraiment , les deux premiers quatrains sont pas mal, surtout le premier !!!

    • Langda

      Hé hé ! Je suis d’accord avec toi, mais ce dernier quatrain conclut tout de même bien le « raisonnement ». J’avais trois ou quatre autres manières de conclure (beaucoup moins brièvement), et je préférais celle-là, dont la banalité n’est pas innocente.

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